En 2002, cette équipe met en évidence au centre du cerveau une pouponnière de cellules souches ayant la capacité de se transformer en neurones.
En 2006, les essais en laboratoire démontrent que les neurones détournés parviennent à remplacer ceux qui ont été détruits par la maladie de Parkinson. Mais pour le moment, ces neurones thérapeutiques ne survivent pas plus de 2 ou 3 mois dans leur nouvel environnement.
En 2010, dans les modèles expérimentaux, l'équipe de recherche démontre que l'utilisation de la lumière peut stimuler l'activité des neurones thérapeutiques. Cette découverte devrait permettre d'audmenter la durée de vie de ces neurones.
En 2011, l'équipe montre que la migration des nouvelles cellules nerveuses ne permet pas seulement d'acheminer des neurones dans des circuits précis. Cette étape détermine aussi la future fonction des nouveaux neurones. Les nouvelles cellules nerveuses échappent donc à la "dictature" des gènes.
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