La société considère souvent les enfants doués comme chanceux, mais ils ont, eux aussi, leur lot de difficultés, affirme Tanya Izquierdo Prindle, auteure et cofondatrice de l'Association québécoise pour la douance. Les trois mythes les plus persistants sont que les enfants doués n’ont pas de besoins particuliers, qu'ils sont bons à l’école et qu’ils n’ont pas de troubles d’apprentissage.
Il existe souvent une dyssynchronie sociale, un décalage entre l’enfant et ses pairs, ses enseignants